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Quand on ne se reconnaît plus du tout...

Dernière mise à jour : il y a 2 jours

Il y'a des périodes où l'on vit sa vie sans vraiment s'y sentir bien. On sourit, on avance, on travaille… mais quelque chose ne colle plus. Comme si l'on portait une veste devenue trop étroite. Comme si l'on jouait un rôle qui ne nous ressemble plus.

Moi aussi, je suis passée par là.


J’avais fait ce qu’il fallait. Études, travail, vie de couple et de maman. J’ai eu des périodes intenses, des succès visibles, des reconversions courageuses. Et pourtant, au fond de moi, ça n'allait pas. J'étais profondément malheureuse. Je ne me reconnaissais plus dans ce que je faisais. J’étais là… mais absente à moi-même.


Et c’est souvent comme ça que ça commence. Pas forcément un burn-out spectaculaire, pas forcément un effondrement. Juste un lent éloignement de soi. Jusqu’à ce qu’un jour, on se dise : "Ce n’est pas ça, la vie. Ce n'est pas ce qui me correspond. Ce n’est pas moi, ça."


Revenir à soi, ce n’est pas fuir


Ce que j’ai compris avec le temps, c’est qu’on n’a pas besoin d’exploser pour changer. On peut aussi choisir de ralentir, d’écouter les signaux faibles, de faire le point avec douceur mais lucidité et de retrouver de l'énergie dans une cause qui nous porte.


C’est ce que j’ai fait. Et c’est ce que j’essaie d’offrir aujourd’hui avec les cercles de parole et les ateliers soft skills d’Ephata Studio. Des espaces pour se retrouver. Pour dire, pour entendre, pour ressentir. Des moments simples mais puissants, où l’on peut respirer sans pression et reconnecter avec ce qui compte vraiment pour nous, pas pour les autres.


On ne change pas du jour au lendemain.


Mais on peut commencer. Par une rencontre, une parole, un temps pour soi.

Par un cercle, une lecture, une inspiration.

Par un "je ne sais pas" qui ouvre un "je vais chercher".

Et parfois, ça suffit à relancer l’élan.

Pas besoin d’avoir toutes les réponses.

L’essentiel, c’est de sentir qu’on n’est pas seul à douter, pas seul à vouloir autre chose.


Ce que j’aimerais te dire, si tu te reconnais


C’est que tu as le droit de changer de cap. Tu as le droit de dire : "Je ne me reconnais plus, et j’ai envie de revenir à moi." Tu as le droit de ne pas savoir par où commencer.

Mais commence quelque part. Un pas. Un cercle. Un atelier. Une question.

Et puis laisse faire ce qui doit se réveiller en toi.


🔗 Les cercles de parole à Issy-les-Moulineaux commencent bientôt. Si tu sens que c’est le bon moment pour toi, je t’y accueillerai avec joie et bienveillance.


 
 
 

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